La violence et les jeux vidéo
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Act. 25.07.08; 08:48 Pub. 24.07.08; 21:52 adi
Les jeux vidéo ne stimulent pas l’agressivité
L’influence des jeux violents doit être relativisée, selon une étude romande.
Sorti en avril, «Grand Theft Auto IV» avait relancé la polémique sur les jeux violents.
Les jeux vidéo violents sont parmi les plus appréciés, mais n’ont aucune relation de cause à effet avec la violence vécue au quotidien par les jeunes étudiants. Ce sont les conclusions d’une étude exploratoire menée par l’institut d’études et de prospection sociologiques (Erasm) de Genève.
Selon les interviewés, la violence n’est pas innée. Elle serait le résultat d’une société qui engendre la violence (93,2% des joueurs et 84,2% de non-joueurs) et du manque d’éducation donnée par les parents (72,7% des joueurs et 64,9% de non-joueurs). Les sondés font la différence entre les actions violentes et celles qui ne le sont pas.
De fait, le joueur ne perd pas son système de valeurs lorsqu’il joue. Le joueur de jeux violents a une image de lui-même plus positive que le non-joueur. Il se trouve réactif et compétiteur. Par contre, pour 22,7% des joueurs et 10,5% de non-joueurs, le joueur de jeux violents est asocial. La motivation principale pour jouer à ces jeux reste le défoulement pour 63,7% des sondés.
Les conclusions ont été tirées des réponses de 101 étudiants universitaires. Le but était de connaître les perceptions et les opinions des joueurs et des non-joueurs de jeux vidéo violents.
Alberto Tikulin
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Act. 25.07.08; 08:48 Pub. 24.07.08; 21:52 adi
Les jeux vidéo ne stimulent pas l’agressivité
L’influence des jeux violents doit être relativisée, selon une étude romande.
Sorti en avril, «Grand Theft Auto IV» avait relancé la polémique sur les jeux violents.
Les jeux vidéo violents sont parmi les plus appréciés, mais n’ont aucune relation de cause à effet avec la violence vécue au quotidien par les jeunes étudiants. Ce sont les conclusions d’une étude exploratoire menée par l’institut d’études et de prospection sociologiques (Erasm) de Genève.
Selon les interviewés, la violence n’est pas innée. Elle serait le résultat d’une société qui engendre la violence (93,2% des joueurs et 84,2% de non-joueurs) et du manque d’éducation donnée par les parents (72,7% des joueurs et 64,9% de non-joueurs). Les sondés font la différence entre les actions violentes et celles qui ne le sont pas.
De fait, le joueur ne perd pas son système de valeurs lorsqu’il joue. Le joueur de jeux violents a une image de lui-même plus positive que le non-joueur. Il se trouve réactif et compétiteur. Par contre, pour 22,7% des joueurs et 10,5% de non-joueurs, le joueur de jeux violents est asocial. La motivation principale pour jouer à ces jeux reste le défoulement pour 63,7% des sondés.
Les conclusions ont été tirées des réponses de 101 étudiants universitaires. Le but était de connaître les perceptions et les opinions des joueurs et des non-joueurs de jeux vidéo violents.
Alberto Tikulin
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